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mercredi 22 mai 2019

Raymond Rochette (1906-1993) - Nature morte aux bûches et aux champignons


Raymond Rochette (1906-1993)
Nature morte aux bûches et aux champignons, 1973
Collection privée

Que voit-on ? Un cageot en bois , un accessoire souvent traité dans les natures mortes de Rochette comme dans Le Cageot de cerises). Ici il sert de support à une thématique très automnale et sylvestre où se mêlent bêches, champignons, mousses, pommes de pins et branchages...
tout ce que la nature produit et nous offre à la fin d'un été flamboyant et avant un hiver rigoureux. Un sujet très en contraste avec sls thématiques industrielles habituelles de ce peintre.

Rappel biographique : l'artiste peintre français Raymond Rochette est né aux frontières de la forêt morvandelle et de l’usine métallurgique du Creusot. Malgré ses nombreux échanges avec des peintres parisiens et de province, malgré ses nombreuses lectures artistiques, ses voyages à Paris, en Italie, au Maroc, il reste en dehors des écoles et des tendances tout en réussissant à être un peintre témoin de son temps. Avant la guerre, ses sources essentielles d’inspiration sont les scènes de vie dans le Morvan, les vues du Creusot et de nombreux portraits. Pendant la guerre, les difficultés pour trouver du matériel le conduisent à réaliser une peinture très lisse, et une cinquantaine de tableaux de cette époque sont peints recto/verso.
Son obsession reste cette envie de représenter la vie dans les ateliers. d'usine. En 1949, 13 ans après sa première demande, il obtient l’autorisation de venir peindre à l'usine : « J’aime les machines comme on peut aimer les fontaines de Provence ; les ateliers me font penser aux nefs des cathédrales, et leurs lueurs aux fêtes nocturnes sur le grand canal. Les danseurs de l’opéra n’ont pas de gestes plus beaux que ceux des ouvriers, Claude Lorrain peignant ses palais n’avait pas de plus pure joie que celle que j’éprouve en dessinant les ateliers, le foisonnement des titanesques assemblages métalliques me donne la joie du Piranèse, mais c’est la joie de Le Nain que je goûte en en glorifiant soudeurs, meuleurs, lamineurs qui deviennent dans mes tableaux les magiciens d’une flamboyante forêt, celle de la métallurgie lourde. »
En 1962, il apprend la construction de l’immense usine de Dunkerque et passe ses congés d’été à en peindre l’évolution. Très intéressé aussi par la mine, il descendra à plusieurs reprises au fond et en rapportera des paysages et des portraits de mineurs saisissants.
Malgré cette soif de peindre le milieu industriel, tous les sujets, même les plus communs, lui donnent le désir le les peindre ; il est un peintre de l’actualité, du quotidien, fixant dans tous les aspects de son environnement le temps qui passe.
Pendant 70 ans, Raymond Rochette n’a cessé de peindre : un paysage, un visage, un fruit, des objets simples, tout fascinait son regard. Il décède en 1993 dans sa maison natale.
Depuis 2006, centenaire de sa naissance, de nombreuses expositions ont eu lieu en Bourgogne, à Paris, Dijon mais aussi au Luxembourg et en Allemagne (au Rheinisches Industriemuseeum d'Oberhausen), au siège social d'Arcelor Mittal Paris.

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2019 - A Still Life Collection 
Un blog de Francis Rousseau 

lundi 15 avril 2019

Raymond Rochette (1906-1993) - Nature morte au melon et prunes


Raymond Rochette (1906-1993)
Nature morte au melon et prunes, 1944
Collection particulière

Que voit on ? Dans une atmosphère diaphane et une lumière (venue de droite) plongeant dans un autre monde (celui des fresques antiques de Pompei) une nature morte à trois éléments avec au premier  plan,  un plateau  de prunes vertes ; au second plan un pichet en terre cuite  ; au troisième plan, un melon dans lequel quatre tranches ont été découpées et soigneusement préparées pour la dégustation.... A l'arrière plan  à travers ce qui semble être une fenêtre mais qui pourrait aussi bien  être une simple dessin posé dur une mur, on aperçoit un paysage maritime où se dessine une côte.

Rappel Biographique : l'artiste peintre français Raymond Rochette est né aux frontières de la forêt morvandelle et de l’usine métallurgique du Creusot. Malgré ses nombreux échanges avec des peintres parisiens et de province, malgré ses nombreuses lectures artistiques, ses voyages à Paris, en Italie, au Maroc, il reste en dehors des écoles et des tendances tout en réussissant à être un peintre témoin de son temps. Avant la guerre, ses sources essentielles d’inspiration sont les scènes de vie dans le Morvan, les vues du Creusot et de nombreux portraits. Pendant la guerre, les difficultés pour trouver du matériel le conduisent à réaliser une peinture très lisse, et une cinquantaine de tableaux de cette époque sont peints recto/verso.
Son obsession reste cette envie de représenter la vie dans les ateliers. d'usine. En 1949, 13 ans après sa première demande, il obtient l’autorisation de venir peindre à l'usine : « J’aime les machines comme on peut aimer les fontaines de Provence ; les ateliers me font penser aux nefs des cathédrales, et leurs lueurs aux fêtes nocturnes sur le grand canal. Les danseurs de l’opéra n’ont pas de gestes plus beaux que ceux des ouvriers, Claude Lorrain peignant ses palais n’avait pas de plus pure joie que celle que j’éprouve en dessinant les ateliers, le foisonnement des titanesques assemblages métalliques me donne la joie du Piranèse, mais c’est la joie de Le Nain que je goûte en en glorifiant soudeurs, meuleurs, lamineurs qui deviennent dans mes tableaux les magiciens d’une flamboyante forêt, celle de la métallurgie lourde. » 
En 1962, il apprend la construction de l’immense usine de Dunkerque et passe ses congés d’été à en peindre l’évolution. Très intéressé aussi par la mine, il descendra à plusieurs reprises au fond et en rapportera des paysages et des portraits de mineurs saisissants.
Malgré cette soif de peindre le milieu industriel, tous les sujets, même les plus communs, lui donnent le désir le les peindre ; il est un peintre de l’actualité, du quotidien, fixant dans tous les aspects de son environnement le temps qui passe.
Pendant 70 ans, Raymond Rochette n’a cessé de peindre : un paysage, un visage, un fruit, des objets simples, tout fascinait son regard. Il décède en 1993 dans sa maison natale.
Depuis 2006, centenaire de sa naissance, de nombreuses expositions ont eu lieu en Bourgogne,  à Paris, Dijon mais aussi  au Luxembourg et en Allemagne (au Rheinisches Industriemuseeum d'Oberhausen), au siège social d'Arcelor Mittal Paris.

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vendredi 9 novembre 2018

Raymond Rochette (1906-1993) - Nature morte aux brochets

http://astilllifecollection.blogspot.com


Raymond Rochette (1906-1993)
Nature morte aux brochets (1961)
Gouache  sur papier
Collection privée

Que voit on ?  Sur un entablement en pierre qui semble être un banc, posé dans un plat en porcelaine vernissée blanche, deux gros brochets et quelques petit spécimens destinés à la " friture". A l'arrière-plan, l'amorce d'une nasse en osier tressé. Un retour de pêche fructueux,  traité à la façon d'une nature morte.

Rappel Biographique : l'artiste peintre français Raymond Rochette est né aux frontières de la forêt morvandelle et de l’usine métallurgique du Creusot. Malgré ses nombreux échanges avec des peintres parisiens et de province, malgré ses nombreuses lectures artistiques, ses voyages à Paris, en Italie, au Maroc, il reste en dehors des écoles et des tendances tout en réussissant à être un peintre témoin de son temps. Avant la guerre, ses sources essentielles d’inspiration sont les scènes de vie dans le Morvan, les vues du Creusot et de nombreux portraits. Pendant la guerre, les difficultés pour trouver du matériel le conduisent à réaliser une peinture très lisse, et une cinquantaine de tableaux de cette époque sont peints recto/verso.
Son obsession reste cette envie de représenter la vie dans les ateliers. d'usine. En 1949, 13 ans après sa première demande, il obtient l’autorisation de venir peindre à l'usine : « J’aime les machines comme on peut aimer les fontaines de Provence ; les ateliers me font penser aux nefs des cathédrales, et leurs lueurs aux fêtes nocturnes sur le grand canal. Les danseurs de l’opéra n’ont pas de gestes plus beaux que ceux des ouvriers, Claude Lorrain peignant ses palais n’avait pas de plus pure joie que celle que j’éprouve en dessinant les ateliers, le foisonnement des titanesques assemblages métalliques me donne la joie du Piranèse, mais c’est la joie de Le Nain que je goûte en en glorifiant soudeurs, meuleurs, lamineurs qui deviennent dans mes tableaux les magiciens d’une flamboyante forêt, celle de la métallurgie lourde. » 
En 1962, il apprend la construction de l’immense usine de Dunkerque et passe ses congés d’été à en peindre l’évolution. Très intéressé aussi par la mine, il descendra à plusieurs reprises au fond et en rapportera des paysages et des portraits de mineurs saisissants.
Malgré cette soif de peindre le milieu industriel, tous les sujets, même les plus communs, lui donnent le désir le les peindre ; il est un peintre de l’actualité, du quotidien, fixant dans tous les aspects de son environnement le temps qui passe.
Pendant 70 ans, Raymond Rochette n’a cessé de peindre : un paysage, un visage, un fruit, des objets simples, tout fascinait son regard. Il décède en 1993 dans sa maison natale.
Depuis 2006, centenaire de sa naissance, de nombreuses expositions ont eu lieu en Bourgogne,  à Paris, Dijon mais aussi  au Luxembourg et en Allemagne (au Rheinisches Industriemuseeum d'Oberhausen), au siège social d'Arcelor Mittal Paris.

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mardi 22 mars 2016

Raymond Rochette (1906-1993)



Raymond Rochette (1906-1993)
Le cageot de cerises
Collection privée

Que voit-on ?  Un cageot en bois rempli de cerises qui repose sur un entablement,  retenant sous un de ses coins, un petit napperon blanc sur lequel une branche de cerisiers avec ses feuilles et quelques fruits est posée.

Rappel Biographique : l'artiste peintre français Raymond Rochette est né aux frontières de la forêt morvandelle et de l’usine métallurgique du Creusot. Malgré ses nombreux échanges avec des peintres parisiens et de province, malgré ses nombreuses lectures artistiques, ses voyages à Paris, en Italie, au Maroc, il reste en dehors des écoles et des tendances tout en réussissant à être un peintre témoin de son temps. Avant la guerre, ses sources essentielles d’inspiration sont les scènes de vie dans le Morvan, les vues du Creusot et de nombreux portraits. Pendant la guerre, les difficultés pour trouver du matériel le conduisent à réaliser une peinture très lisse, et une cinquantaine de tableaux de cette époque sont peints recto/verso.
Son obsession reste cette envie de représenter la vie dans les ateliers. d'usine. En 1949, 13 ans après sa première demande, il obtient l’autorisation de venir peindre à l'usine : « J’aime les machines comme on peut aimer les fontaines de Provence ; les ateliers me font penser aux nefs des cathédrales, et leurs lueurs aux fêtes nocturnes sur le grand canal. Les danseurs de l’opéra n’ont pas de gestes plus beaux que ceux des ouvriers, Claude Lorrain peignant ses palais n’avait pas de plus pure joie que celle que j’éprouve en dessinant les ateliers, le foisonnement des titanesques assemblages métalliques me donne la joie du Piranèse, mais c’est la joie de Le Nain que je goûte en en glorifiant soudeurs, meuleurs, lamineurs qui deviennent dans mes tableaux les magiciens d’une flamboyante forêt, celle de la métallurgie lourde. » 
En 1962, il apprend la construction de l’immense usine de Dunkerque et passe ses congés d’été à en peindre l’évolution. Très intéressé aussi par la mine, il descendra à plusieurs reprises au fond et en rapportera des paysages et des portraits de mineurs saisissants.
Malgré cette soif de peindre le milieu industriel, tous les sujets, même les plus communs, lui donnent le désir le les peindre ; il est un peintre de l’actualité, du quotidien, fixant dans tous les aspects de son environnement le temps qui passe.
Pendant 70 ans, Raymond Rochette n’a cessé de peindre : un paysage, un visage, un fruit, des objets simples, tout fascinait son regard. Il décède en 1993 dans sa maison natale.
Depuis 2006, centenaire de sa naissance, de nombreuses expositions ont eu lieu en Bourgogne,  à Paris, Dijon mais aussi  au Luxembourg et en Allemagne (au Rheinisches Industriemuseeum d'Oberhausen), au siège social d'Arcelor Mittal Paris.

jeudi 25 février 2016

Raymond Rochette (1906-1993)



Raymond Rochette (1906-1993)
Nature morte avec coquillages
Collection privée

Que voit-on ?  Sur un table blanche : une boîte en nacre, deux coquillages, une étoile de mer et un ruban. Objets du quotidien patiemment rendus et avec une immense poésie tout à long de la vie de ce peintre du 20e siècle encore  injustement méconnu.  La monochromie de l'ensemble est à peine rompue par la couleur de l'étoile de mer déjà recroquevillée et palissante.

Rappel Biographique : l'artiste peintre français Raymond Rochette est né aux frontières de la forêt morvandelle et de l’usine métallurgique du Creusot. Malgré ses nombreux échanges avec des peintres Parisiens et de province, malgré ses nombreuses lectures artistiques, ses voyages à Paris, en Italie, au Maroc, il reste en dehors des écoles et des tendances tout en réussissant à être un peintre témoin de son temps. Avant la guerre, ses sources essentielles d’inspiration sont les scènes de vie dans le Morvan, les vues du Creusot et de nombreux portraits. Pendant la guerre, les difficultés pour trouver du matériel le conduisent à réaliser une peinture très lisse, et une cinquantaine de tableaux de cette époque sont peints recto/verso.
Son obsession reste cette envie de représenter la vie dans les ateliers. d'usine. En 1949, 13 ans après sa première demande, il obtient l’autorisation de venir peindre à l'usine : « J’aime les machines comme on peut aimer les fontaines de Provence ; les ateliers me font penser aux nefs des cathédrales, et leurs lueurs aux fêtes nocturnes sur le grand canal. Les danseurs de l’opéra n’ont pas de gestes plus beaux que ceux des ouvriers, Claude Lorrain peignant ses palais n’avait pas de plus pure joie que celle que j’éprouve en dessinant les ateliers, le foisonnement des titanesques assemblages métalliques me donne la joie du Piranèse, mais c’est la joie de Le Nain que je goûte en en glorifiant soudeurs, meuleurs, lamineurs qui deviennent dans mes tableaux les magiciens d’une flamboyante forêt, celle de la métallurgie lourde. » 
En 1962, il apprend la construction de l’immense usine de Dunkerque et passe ses congés d’été à en peindre l’évolution. Très intéressé aussi par la mine, il descendra à plusieurs reprises au fond et en rapportera des paysages et des portraits de mineurs saisissants.
Malgré cette soif de peindre le milieu industriel, tous les sujets, même les plus communs, lui donnent le désir le les peindre ; il est un peintre de l’actualité, du quotidien, fixant dans tous les aspects de son environnement le temps qui passe.
Pendant 70 ans, Raymond Rochette n’a cessé de peindre : un paysage, un visage, un fruit, des objets simples, tout fascinait son regard. Il décède en 1993 dans sa maison natale.
Depuis 2006, centenaire de sa naissance, de nombreuses expositions ont eu lieu en Bourgogne,  à Paris, Dijon mais aussi  au Luxembourg et en Allemagne (au Rheinisches Industriemuseeum d'Oberhausen), au siège social d'Arcelor Mittal Paris.

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vendredi 8 janvier 2016

Raymond Rochette (1906-1993)


Raymond Rochette (1906-1993)
Poissons
Collection privée

Que voit-on ?  Un plat en céramique vernissée rempli de poissons différents, auxquels ont été ajoutés  un crabe et une étoile de mer. un sujet naturel assez rare  et très inhabituel pour ce peintre qui préférait de beaucoup les paysages industriels et les intérieurs d'usine.

Rappel Biographique : l'artiste peintre français Raymond Rochette est né aux frontières de la forêt morvandelle et de l’usine métallurgique du Creusot. Malgré ses nombreux échanges avec des peintres Parisiens et de province, malgré ses nombreuses lectures artistiques, ses voyages à Paris, en Italie, au Maroc, il reste en dehors des écoles et des tendances tout en réussissant à être un peintre témoin de son temps. Avant la guerre, ses sources essentielles d’inspiration sont les scènes de vie dans le Morvan, les vues du Creusot et de nombreux portraits. Pendant la guerre, les difficultés pour trouver du matériel le conduisent à réaliser une peinture très lisse, et une cinquantaine de tableaux de cette époque sont peints recto/verso.
Son obsession reste cette envie de représenter la vie dans les ateliers. d'usine. En 1949, 13 ans après sa première demande, il obtient l’autorisation de venir peindre à l'usine : « J’aime les machines comme on peut aimer les fontaines de Provence ; les ateliers me font penser aux nefs des cathédrales, et leurs lueurs aux fêtes nocturnes sur le grand canal. Les danseurs de l’opéra n’ont pas de gestes plus beaux que ceux des ouvriers, Claude Lorrain peignant ses palais n’avait pas de plus pure joie que celle que j’éprouve en dessinant les ateliers, le foisonnement des titanesques assemblages métalliques me donne la joie du Piranèse, mais c’est la joie de Le Nain que je goûte en en glorifiant soudeurs, meuleurs, lamineurs qui deviennent dans mes tableaux les magiciens d’une flamboyante forêt, celle de la métallurgie lourde. » 
En 1962, il apprend la construction de l’immense usine de Dunkerque et passe ses congés d’été à en peindre l’évolution. Très intéressé aussi par la mine, il descendra à plusieurs reprises au fond et en rapportera des paysages et des portraits de mineurs saisissants.
Malgré cette soif de peindre le milieu industriel, tous les sujets, même les plus communs, lui donnent le désir le les peindre ; il est un peintre de l’actualité, du quotidien, fixant dans tous les aspects de son environnement le temps qui passe.
Pendant 70 ans, Raymond Rochette n’a cessé de peindre : un paysage, un visage, un fruit, des objets simples, tout fascinait son regard. Il décède en 1993 dans sa maison natale.
Depuis 2006, centenaire de sa naissance, de nombreuses expositions ont eu lieu en Bourgogne,  à Paris, Dijon mais aussi  au Luxembourg et en Allemagne (au Rheinisches Industriemuseeum d'Oberhausen), au siège social d'Arcelor Mittal Paris.

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