Theo van Rysselberghe (1862-1926)
Nature morte aux prunes
Il peint de nombreux portraits qu'il consacre essentiellement à ses proches, qu'il peint avec précision, ce qui contraste avec la volonté synthétique des pointillistes français. Comme le souligne Emile Verhaeren " Ses personnages n'ont pas l'hiératisme de ceux de Seurat " .
Admirateur, en particulier d'Hiroshige, il sera aussi influencé par le japonisme. Ses paysages maritimes se simplifient, contrastant avec le luxe de détails de ses portraits.
Il a peint un certain nombre de groupes de nus féminins dont il fait son thème de prédilection а partir de 1910. L'érotisme n'est pas la caractéristiques majeur de ses nus qu'André Gide qualifie volontiers de « nus hygiéniques ». Peu de natures mortes dans son oeuvre.
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